Election présidentiel - Réflection n° 2

Bonjour chers proches que j'espère en pleine forme, physiquement et surtout moralement (cà ira mieux demain chantait Annie Cordy)

Sur mon précédent blog j'ai parlé du tyran sans le citer nommément, j'espère que vous avez tous compris qu'il s'agissait de POUTINE et pas du Président de l'Ukraine, évidemment.

Deux enjeux majeurs se sont invités dans la campagne présidentielle : "le pouvoir d'achat" et "les énergies gaz, électricité et le pétrole".La flambée des cours provient, à mon avis, ( et je ne suis pas le seul à le penser) de plusieurs facteurs : "la libéralisation des prix en Europe, la stratégie financière des pays producteurs, auxquels s'ajoute désormais la guerre déclenchée par Vladimir POUTINE (je n'ai pas écrit par les russes), et je pourrais aussi ajouter pour la France, l'irresponsabilité et le manque de considération des Français par le gouvernement Macron (vous pouvez ne pas être d'accord).

Ne pas avoir la mémoire courte ! Moi je m'en souviens. Tout a commencé avec le sieur Nicolas SARKOZY, alors Ministre de l'Intérieur sous Jacques CHIRAC (comme Valérie GISCARD d'ESTEIN), ces Messieurs et d'autres classés à droite, n'ont jamais admis les nationalisations réalisées par le Général De Gaulle en 1946, notamment des énergies gaz et  électricité, les 3 messieurs précités qui pourtant se réclament du Général. Ils ont suivi les directives européennes visant à libérer toutes les énergies, et bien d'autres choses, afin de permettre aux plus riches d'augmenter leurs profits (voir textes de la réforme des marchés européens).

Ils fallait s'en douter, le prix des énergies n'étant plus sous le contrôle absolu de l'Etat, ils ont dès lors sensiblement augmentés ; qui plus est, en devenant  indexés sur les cours du pétrole. C'est pour cette raison que les anglais envisageraient de re-nationaliser l'électricité et le gaz, encore faudrait-il qu'ils en aient les moyens financiers ? En France aucun candidat ou presque,  n'envisage de reconquérir la maîtrise des énergies, pourquoi ? C'est vrai qu'il faudrait du courage et de la persévérance.

Tout comme l'eau, les carburants, le gaz et l'électricité sont devenus des besoins vitaux dans le monde d'aujourd'hui. Nos gouvernants doivent en avoir le contrôle et  la maîtrise des prix et ce, avec des taxes aussi réduites que possible.

Il paraîtrait que de mettre à nouveau en mouvement une taxe flotante sur les carburants pour baisser les prix, serait à la fois trop compliqué à mettre en oeuvre et peu efficace ! De qui se moque-t-on ? Des français évidemment.

Qui est Macron ? Est-il  blanc comme neige ? De la fumée sans feu est-ce possible ? A plus pour en parler.